Francisation des immigrants - Québec passe à l'action
La ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles du Québec, Yolande James, a présenté, lundi matin, les nouvelles mesures du gouvernement Charest pour renforcer la francisation et l'intégration des immigrants.
Québec investira près de 23 millions de dollars de plus d'ici 2010-2011.
Dans le premier volet de son plan d'action, Québec prévoit qu'un candidat à l'immigration pourra avoir accès à des cours de français avant de quitter son pays d'origine. Il pourra suivre des cours en ligne ou avec des organisations comme l'Alliance française avec qui le gouvernement conclura des ententes.
La ministre James a précisé que 40 % des immigrants qui venaient au Québec ne parlaient pas français.
Le gouvernement a aussi l'intention d'élargir son programme. Dans le deuxième volet de son plan, Québec veut soutenir le regroupement des familles et permettre aux étudiants et aux travailleurs étrangers qui veulent rester au Québec de suivre des cours de français. On fera aussi la promotion des cours de français.
Dans son troisième volet, Québec veut encourager l'enseignement du français en milieu de travail. Il a annoncé dans son budget qu'il mettait sur pied un crédit d'impôt remboursable de 30 % pour aider les entreprises à donner des cours de français aux travailleurs immigrants. Ce crédit vise toutes les entreprises y compris celles de 50 employés et moins qui ne sont pas assujetties à la loi 101.
Actuellement, il n'y a que 375 immigrants qui suivent des cours de français en milieu de travail. Québec voudrait atteindre 2000 personnes.
Québec créera aussi un guichet unique pour les cours de français. Actuellement, Emploi-Québec et les ministères de l'Immigtation et de l'Éducation offrent des cours de francisation. L'offre de cours sera maintenant centralisée.
Enfin, le gouvernement a l'intention de tenir une vaste enquête auprès des immigrants adultes qui sont arrivés au Québec sans parler français, afin de voir s'ils l'ont appris ou non depuis leur venue.
Québec investira près de 23 millions de dollars de plus d'ici 2010-2011.
Dans le premier volet de son plan d'action, Québec prévoit qu'un candidat à l'immigration pourra avoir accès à des cours de français avant de quitter son pays d'origine. Il pourra suivre des cours en ligne ou avec des organisations comme l'Alliance française avec qui le gouvernement conclura des ententes.
La ministre James a précisé que 40 % des immigrants qui venaient au Québec ne parlaient pas français.
Le gouvernement a aussi l'intention d'élargir son programme. Dans le deuxième volet de son plan, Québec veut soutenir le regroupement des familles et permettre aux étudiants et aux travailleurs étrangers qui veulent rester au Québec de suivre des cours de français. On fera aussi la promotion des cours de français.
Dans son troisième volet, Québec veut encourager l'enseignement du français en milieu de travail. Il a annoncé dans son budget qu'il mettait sur pied un crédit d'impôt remboursable de 30 % pour aider les entreprises à donner des cours de français aux travailleurs immigrants. Ce crédit vise toutes les entreprises y compris celles de 50 employés et moins qui ne sont pas assujetties à la loi 101.
Actuellement, il n'y a que 375 immigrants qui suivent des cours de français en milieu de travail. Québec voudrait atteindre 2000 personnes.
Québec créera aussi un guichet unique pour les cours de français. Actuellement, Emploi-Québec et les ministères de l'Immigtation et de l'Éducation offrent des cours de francisation. L'offre de cours sera maintenant centralisée.
Enfin, le gouvernement a l'intention de tenir une vaste enquête auprès des immigrants adultes qui sont arrivés au Québec sans parler français, afin de voir s'ils l'ont appris ou non depuis leur venue.
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